Co-recherche : Différence entre versions
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+ | J'ai choisi de m'orienter autour de la métaphore de la co-recherche à la fois parce qu'elle m'est familière et parce qu'elle s'écarte radicalement de la pratique clinique conventionnelle. Elle a réuni la notion très respectable de recherche avec l'idée assez étrange de la co-production de connaissances par les personnes souffrantes et le thérapeute. Ce qui a rendu cela possible, dans un premier temps, a été une conversation d'externalisation relativement approfondie, dans laquelle le problème était un problème pour tout le monde, et là je m'inclus. C'est là que je me suis écarté de la démarche désintéressée de l'ethnographe. Cela a conduit, et conduit toujours, à des pratiques visant à découvrir un "savoir" de telle manière que toutes les parties concernées puissent en faire bon usage. Ces savoirs sont ardemment et ouvertement pragmatiques. ([[Références de ce dictionnaire#LETTRE-E|Epston, 1999, pp. 141-142]]) | ||
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Version actuelle datée du 20 août 2020 à 18:39
Co-research
Une autre façon de s'orienter vers la thérapie imaginée par David Epston :
J'ai choisi de m'orienter autour de la métaphore de la co-recherche à la fois parce qu'elle m'est familière et parce qu'elle s'écarte radicalement de la pratique clinique conventionnelle. Elle a réuni la notion très respectable de recherche avec l'idée assez étrange de la co-production de connaissances par les personnes souffrantes et le thérapeute. Ce qui a rendu cela possible, dans un premier temps, a été une conversation d'externalisation relativement approfondie, dans laquelle le problème était un problème pour tout le monde, et là je m'inclus. C'est là que je me suis écarté de la démarche désintéressée de l'ethnographe. Cela a conduit, et conduit toujours, à des pratiques visant à découvrir un "savoir" de telle manière que toutes les parties concernées puissent en faire bon usage. Ces savoirs sont ardemment et ouvertement pragmatiques. (Epston, 1999, pp. 141-142)