Droits du narrateur : Différence entre versions
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Cf. <mark>[[Charte (ébauche) des droits du narrateur]]</mark><br/> | Cf. <mark>[[Charte (ébauche) des droits du narrateur]]</mark><br/> | ||
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Version actuelle datée du 9 août 2020 à 11:04
Storytelling rights
Stephen Madigan :
L'idée des droits du narrateur et la question de savoir "qui détient les droits pour raconter l'histoire qui est racontée" a été un point de départ pour comprendre et donner du sens à mon apprentissage et à ma formation. En 1993, j'ai élargi l'idée du droit de raconter des histoires pour inclure une pratique de questionnement narratif conforme à la charte des droits de l'homme et de la justice des Nations Unies dans le service hospitalier des troubles alimentaires dans lequel je donnais mes consultations. Les campagnes de lettres thérapeutiques (basées sur la pratique d'écrire aux gouvernements pendant ma vie dans le mouvement anti-nucléaire, etc.) ont émergé comme une pratique et le service hospitalier a adopté notre charte des droits et libertés Anti-anorexie. Nous avons poursuivi cette idée en engageant financièrement des pairs/initiés en tant que "personnes ayant des connaissances" pour enseigner dans notre programme de formation à la Vancouver School of Narrative Therapy en 1994. C'était une belle et spectaculaire période d'exploration politique et pratique.